1. Kraftwerk et Youtube : le bon côté
Bill Bailey est un comédien britannique qui, si j'en crois la Wikipédia [en], s'est aventuré dans le domaine de la stand-up comedy après une carrière remarquée à la TV. Mais il ne fait pas dans le monologue dépouillé pour autant, car il s'agit avant tout de sketches musicaux. En s'accompagnant en direct d'une paire d'instruments (dont certains plutôt atypiques : Thérémine, guitare-synthé...), Bailey démonte ses thèmes en joignant le geste à la parole, un peu comme on finit souvent par le faire au terme d'une répète entre potes :)
En conséquence, Kraftwerk et Youtube m'ont fait découvrir cette interprétation du classique "Hokey Dokey" sauce electro :
Au-délà de la parodie, on peut difficilement louper la culture musicale du monsieur, comme lorsqu'il disserte sur les musiques additionnelles de Starsky & Hutch (et le 'Gotcha theme' de Tom Scott). Pauvre de nous autres, François de France, encore limités aux cours de Jean-François Zygel sur le classique !
Enfin, de fil en aiguille, on pourra déguster dans la foulée :
Du lourd. Voire lourdingue.
Choisissons une jolie (à la base) ritournelle de Kraftwerk, au hasard : 'The Model'.
Ajoutons une pornstar mamelue, probablement en légère perte de vitesse, et dont le patronyme vaudra certainement à Ich bin ein Flatliner une bonne pelletée de Google hits égarés : Veronika Zemanova.
Et hop. Une reprise nulle [vidéo un peu NSFW mais à peine].
Bon Dieu. Kraftwerk... Veronika Zemanova (Google hits)... Veronika Zemanova (more Google hits)... Kraftwerk... Veronika. Zemanova (even more Google hits)...
En conséquence, Kraftwerk et Youtube m'ont fait découvrir cette interprétation du classique "Hokey Dokey" sauce electro :
Au-délà de la parodie, on peut difficilement louper la culture musicale du monsieur, comme lorsqu'il disserte sur les musiques additionnelles de Starsky & Hutch (et le 'Gotcha theme' de Tom Scott). Pauvre de nous autres, François de France, encore limités aux cours de Jean-François Zygel sur le classique !
Enfin, de fil en aiguille, on pourra déguster dans la foulée :
- Bill Bailey démontre les effets des Intervalles du Diable (et de Chris de Burgh)
- Bill Bailey décrypte les sirènes de polices
- Bill Bailey révèle le thème central, inédit, du Manège Enchanté
- Bill Bailey marie le hillbilly et Led Zep
- Bill Bailey compare les génériques de JT américains et anglais
- Bill Bailey propose un hymne national trip-hop
- Bill Bailey démystifie la Thérémine auprès d'un intervieweur sceptique («non, je n'ai pas de dauphin caché en coulisses !»)
- ... j'en ai déjà trop cité, mais il reste de quoi faire.
Du lourd. Voire lourdingue.
Choisissons une jolie (à la base) ritournelle de Kraftwerk, au hasard : 'The Model'.
Ajoutons une pornstar mamelue, probablement en légère perte de vitesse, et dont le patronyme vaudra certainement à Ich bin ein Flatliner une bonne pelletée de Google hits égarés : Veronika Zemanova.
Et hop. Une reprise nulle [vidéo un peu NSFW mais à peine].
Bon Dieu. Kraftwerk... Veronika Zemanova (Google hits)... Veronika Zemanova (more Google hits)... Kraftwerk... Veronika. Zemanova (even more Google hits)...
WTF !!!!
2 commentaires:
Bill Bailey est excellent! Merci.
J'aime beaucoup aussi son accent british de la haute bien dédaigneux!
Pour une démonstration de thérémine et d'autres anciens instruments d'électronique analogique,
cf. le groupe Add N to (X), album Avant-Hard :
Buckminster Fuller (extrait)
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