Croisé l'autre jour en gare de Nancy, une équipe de télé/reportage/cinéma (l'un ou l'autre) japonaise.
L'escouade légère me rappelait les conditions de tournage de Wenders pour son Tokyo-Ga, et je me les imaginais en train d'en mettre en boîte le pendant nancéen.
L'escouade légère me rappelait les conditions de tournage de Wenders pour son Tokyo-Ga, et je me les imaginais en train d'en mettre en boîte le pendant nancéen.
Du coup, j'ai enfin dégusté ce dimanche mon DVD de Don't Come Knocking, du même Wenders. Pour tout dire, j'avais d'abord été tellement frappé par le premier film du coffret, Land of Plenty, que je m'étais alors dit qu'il valait mieux ne pas se précipiter.
Les deux films sont parents, Land of Plenty ayant vu le jour grâce, ou à cause, d'un retard de la production de Don't Come Knocking, sur une impulsion du réalisateur. Coutumier du fait, Wenders avait déjà produit Tokyo-Ga dans un creux de son agenda, à l'ombre d'un autre de ses grands films (soit Paris, Texas, soit Les Ailes du Désir, il me faudrait vérifier), emmenant en tout et pour tout une caméra, un cadreur, et un magnéto portable avec lequel il allait lui-même faire la prise de son.
Faut-il être cinéaste !... Je suis client. Indécrottablement client.
Merci M. Wenders.
Les deux films sont parents, Land of Plenty ayant vu le jour grâce, ou à cause, d'un retard de la production de Don't Come Knocking, sur une impulsion du réalisateur. Coutumier du fait, Wenders avait déjà produit Tokyo-Ga dans un creux de son agenda, à l'ombre d'un autre de ses grands films (soit Paris, Texas, soit Les Ailes du Désir, il me faudrait vérifier), emmenant en tout et pour tout une caméra, un cadreur, et un magnéto portable avec lequel il allait lui-même faire la prise de son.
Faut-il être cinéaste !... Je suis client. Indécrottablement client.
Merci M. Wenders.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire