Voici la deuxième fois que j'utilise ce remarquable monologue dans un morceau. Cette fois-ci c'est au terme d'une nuit-marathon sur Ableton.
Ici, j'utilise une ligne de basse et une structure autour desquelles je tourne depuis l'époque ma première machine, un petit Yamaha, ce qui rend cette partie du morceau exactement contemporaine du film de Wenders. D'autres influences harmoniques plus récentes sont venues se greffer, je me dis dis modestement que je ne peux nier qu'il y a un peu de Perry Blake également là-dedans, par exemple.
See you soon, Compañero.
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