Si tu savais les bidouilles qu'il y a derrière, tu comprendrais tout de suite, Effer ;)
Le problème du numérique, c'est que la plage dynamique du capteur est loin d'être aussi étendue que celle du "vieux" film. Résultat, dans des conditions de lumières un peu limites, comme un contre-jour, tu tapes vite dans les limites de cette plage. Et le numérique écrête purement et simplement ce qui dépasse, là où le film tendait à battre en retraite un poil plus progressivement. Et quand c'est écrêté, y'a plus d'infos à restaurer en post-prod'. D'où des bidouilles innommables pour rattraper cette image, par exemple, que j'ai laissé dormir un an et quelques avant de voir un peu comment la traiter :)
en fait le numérik fonctionne à l'inverse de l'analogique... dans les blancs ya pas d'info mais dans les noirs on découvre des trésors... Donc au lieu de surex il faut sousex (a ne pas confondre avec linda... de sousez,... c'est nul mais ca m'est venu comme ça) ... m'enfin c'est ce que je pense...
sinon, j'aime bien cette photo, et, avec le titre, ça me fait penser à la peinture... ??? je m'explique. Autrefois beaucoup de peintres utilisaient le cadrillage pour peindre en respectant les proportions de la nature. Et, en voyant cette photo, mon cerveau malade, imagine un peintre (genre leonard de vinci un peu félé) qui a inventé une machine à cadrillé la nature.. Je sais, c'est tiré par les tifs mais c'est vraiment ce que j'ai pensé en voyant cette photo, j'espère que tu ne m'en voudras pas... Amicalement.
On voit l'utilisation de ce cadrillage dans le film Meurtre dans un jardin anglais ( The draughman contract) de Peter Greeneway ( excellent film d'ailleurs).
7 commentaires:
elle est très bien cette photo! Où vas-tu chercher des titres pareils?
:)
Si tu savais les bidouilles qu'il y a derrière, tu comprendrais tout de suite, Effer ;)
Le problème du numérique, c'est que la plage dynamique du capteur est loin d'être aussi étendue que celle du "vieux" film. Résultat, dans des conditions de lumières un peu limites, comme un contre-jour, tu tapes vite dans les limites de cette plage. Et le numérique écrête purement et simplement ce qui dépasse, là où le film tendait à battre en retraite un poil plus progressivement. Et quand c'est écrêté, y'a plus d'infos à restaurer en post-prod'. D'où des bidouilles innommables pour rattraper cette image, par exemple, que j'ai laissé dormir un an et quelques avant de voir un peu comment la traiter :)
Oups! Merci pour ces explications effectivement nécessaires pour comprendre ce titre.
Je garde mon vieux Pentax...
;)
en fait le numérik fonctionne à l'inverse de l'analogique... dans les blancs ya pas d'info mais dans les noirs on découvre des trésors... Donc au lieu de surex il faut sousex (a ne pas confondre avec linda... de sousez,... c'est nul mais ca m'est venu comme ça) ... m'enfin c'est ce que je pense...
sinon, j'aime bien cette photo, et, avec le titre, ça me fait penser à la peinture... ??? je m'explique. Autrefois beaucoup de peintres utilisaient le cadrillage pour peindre en respectant les proportions de la nature. Et, en voyant cette photo, mon cerveau malade, imagine un peintre (genre leonard de vinci un peu félé) qui a inventé une machine à cadrillé la nature.. Je sais, c'est tiré par les tifs mais c'est vraiment ce que j'ai pensé en voyant cette photo, j'espère que tu ne m'en voudras pas... Amicalement.
18 : j'adore cette lecture, j'avoue que je n'avais pas pensé ça à l'origine, mais j'adore, oui. Merci !
On voit l'utilisation de ce cadrillage dans le film Meurtre dans un jardin anglais ( The draughman contract) de Peter Greeneway ( excellent film d'ailleurs).
belle lecture
terrible ce titre
c'est un piege a betes en bas de la porte ?
il y a un moyen de passer si on s'egratine
continuons
tymyvwu
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